Protigre |  Sujet: [CANDIDATURE] Protigre - Abbius "Le Rhinocéros" Minami ![[CANDIDATURE] Protigre - Abbius "Le Rhinocéros" Minami Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) Dim 3 Oct - 2:31 | |
| Hors-Roleplay Pseudo Minecraft : Rosecroix Votre âge : 21 Mon groupe Facebook dit de moi que je croque la vie à pleines dents !!!!!!!
salut moi c’est Protigre, je crée de la musique et des plats
ça fait longtemps que je fais du rp, je connais plein de gens, ils sont tous sympathiques, même si le plus important reste de ne pas perdre de vue queAbbius Minami dit "Le Rhinocéros" Généralités
Nom : MINAMI
Prénom : Abbius
Age : 39 ans
Race : Sylphae-éléphant
Sexe : Mâle
Taille : 1m98
Poids : 117kg
Religion : Noctis principalement, d'autres gardiens occasionnellement
Métier : Veilleur (Aspirant Arasenshi)
Niveau : 0
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Description physique Nombreux étaient ceux à l’avoir vu, là, dehors. Il dénotait des autres policiers de Sombre-Boise, étant donné sa carrure imposante. Il était grand, gros. Difficile de dire s’il s’agissait de graisse ou de muscle, c’était ventriloquent, pourtant sa force n’était pas des moindres.
Mais plus singulier encore, cette longue trompe et ces deux défenses qui ressortaient du heaume rouillé et cabossé qui protégeait son visage. On était habitué à voir des sylphaes de loups, ou de félidés. Mais un pachyderme, c’était bien plus rare. Ses grandes oreilles ressortaient, elles aussi, plus petites et fines que celles d’un vrai éléphant, et surtout collée à son crâne à l’instar des oreilles humaines.
Son menton était peut-être un peu avancé, mais il avait bien une bouche et une mâchoire humaines. Les gens seraient probablement plus à l’aise face à lui s’il avait complètement une tête d’éléphant, mais cette écœurante séparation claire sous sa trompe, la transition de son épaisse peau tannée vers la peau fine et fragile d’un être humain, ça, cela mettait les gens mal à l’aise.
Alors, il retirait son heaume, parfois, et les gens pouvaient constater toutes les fioritures sur son visage, caractéristiques du cuir des pachydermes, ses yeux orangés, dans lesquels on ne pouvait que difficilement lire autre chose que de la sérénité, de la fatigue, et parfois sous le bon angle de la crainte. C’était sûrement dû à ses rides, car sa bouche ne savait quasiment que sourire de toutes ses dents, étrangement très humaines, droites, rectangulaires et plus ou moins blanches. C’était un modèle si générique de dentition humaine que s’en était presque parodique.
Son corps lui était gros. Le mot peut paraitre enfantin, mais c’est ce qu’il était. Gros, ventriloquent, massif. Le mélange sur son torse entre l’éléphant et l’humain était un triste spectacle, avec seulement sa poitrine étant d’une peau épaisse, donnant cette impression de pièce d’armure organique, vivante.
Il en allait de même pour ses mains, de peau épaisse et ridée, grise, mais à la forme d’une main humaine. Enfin, si l’on met de côté ses doigts plus gros que la moyenne, et au nombre de six, aux ongles durs et opaques.
Sa posture, sa marche … N’étaient pas fières, on parlerait plutôt de lutte. Il semblait lutter pour se tenir droit, pour marcher sans balancer en avant, sans accompagner chaque pas d’un mouvement de balancier pour compenser son poids.Description mentale Il était facile de juger hâtivement Abbius. Un homme trop complexe, à la recherche d’un bonheur trop simple. Certains diraient que les hommes à la recherche du bonheur ne rejoignent pas Sombre-Boise, ou qu’ils n’y deviennent pas policiers.
Cela dit, personne n’aurait tort de le juger hâtivement, car il est simple de résumer Abbius. C’est un homme perdu, et à la recherche de réponses. Voilà tout. Il sait pourquoi il est un sylphae, il sait ce qu’il sait faire, il sait qui sont ses parents, et il sait ce qu’il aime dans la vie. Ce qu’il ne sait pas en revanche, c’est lire l’avenir, comprendre notre dessein, interpréter les gardiens.
Et dans le prisme inquiet de l’éléphant, tout ceci est alarmant. Peut-être réfléchit-il trop ? Peut-être alors, qu’il serait moins effrayé par la grandeur du monde, le mystère par-delà le ciel, et le silence infini des vastes lieux inexplorés, s’il pouvait se calmer, trouver des réponses. Mais il ne parle pas beaucoup. Et chaque réponse le déçoit et le mure plus encore dans son mutisme.
Abbius est un croyant, et un pratiquant. Bien qu’il prie la Mère de tout sylphae, comme les autres, son attention est tournée principalement vers Noctis. Il ne saurait l’expliquer lui-même. L’éléphant est loin d’être la personne la plus furtive en ville, sa carrure et son air attirent l’attention.
Mais, il a trouvé en le culte de Noctis une forme d’apaisement. Car lui n’aimait pas être vu. Qui d’autre que lui a choisi la nuit par nécessité, pour pouvoir se promener sans être dérangé ? C’est pour ça qu’il s’est engagé auprès de la ville dans la « police », pour protéger les gens des dangers qui ne daignaient apparaitre que lorsque le soleil partait se coucher et que les rues se faisaient moins sûres.
Son envie de satisfaire son gardien le poussa à apprendre la discrétion, la furtivité, pour mieux appréhender les dangers nocturnes. Pas en faisant des roulades dans le moindre coin d’ombre ou en se jetant dans des buissons, certes, mais il apprit à filer et se renseigner avec brio. Insoupçonné, trop gros et voyant pour jouer le rôle qu’il joue. Caché en plein jour, sous leur nez.
Mis à part ça, Abbius a une certaine aversion pour les humains, et plus encore ceux qui n'ont pas pour vocation de s'élever spirituellement ou s'améliorer. Histoire du personnage Je suis né auprès des miens. Au sein du Clan Kuroïchi.
Mon père était un fier guerrier, et ma mère aussi.
Devinez ce que j’aurais voulu être ? Un fier guerrier.
Le vie n’était pas dure. Est-ce que la nourriture manquait ? Oui. L’amour aussi, un lit confortable aussi, mais la vie n’est pas dure quand on s’endort en sachant qu’on a rempli son devoir et qu’on est une bonne personne. Même le ventre vide. J’ai appris l’art martial, comme je le devais. J’ai appris l’art théologique, comme je le devais. Mon père a été emporté par un incendie quand j’avais à peu près la vingtaine. Pas de chance. La chance se provoque, et mon père ne savait pas le faire. Ce n’est pas mon cas.
Vous savez, mon père et moi ne sommes pas pareils. Il est mort et je suis en vie.
Quand les choses ont dégénéré sur Thoria, j’ai pris les armes, bien sûr. Je me suis coincé la cheville dans des débris, sous une grosse poutre, et un insurgé est arrivé avec deux amis à lui. Il a tenté de me tendre la main, pour me prouver qu’il n’était pas mauvais. Je lui ai coupé. Ses amis ont tout de suite voulu le venger, mais le toit s’est écroulé sur eux. Vous voyez, la chance se contrôle.
Malheureusement, mes homologues n’étaient pas de cet avis, et ainsi la chance n’a pas été de notre côté, nous avons perdu. Je me console, ils ont perdu aussi. A terme, ils n’ont fait que précipiter Thoria vers la débâcle, et ils finiront par s’effacer eux-mêmes, avec des citoyens faibles remettant en question la moindre once d’organisation. Enfin, bref.
J’avais presque trente ans qu’on a dû partir se réfugier ici et bâtir Saïnaru. Je suis parti avec ma mère et ma femme. Je n’avais jamais eu le temps de devenir un Arasenshi, et personne n’a jamais eu l’occasion de témoigner de mes victoires lors de l’insurrection. Arrivant ici, je n’étais donc pas grand-chose.
Il me vint à l’idée d’aller à la rencontre d’un lieu dont on parlait en des termes peu élogieux : Sombre-Boise. Peut-être alors, que si j’arrivais à me démarquer là-bas par un acte héroïque, je serais fait Arasenshi. Je laissais donc ma vieille mère sous la surveillance de ma femme. Elle n’était pas très heureuse de cette décision mais il y a des priorités dans la vie.
Arrivé à Sombre-Boise, je ne pu que constater le triste état de ce lieu. Si je voulais me distinguer auprès de la Princesse, c’était assurément le bon lieu. Des mystères ésotériques, de la criminalité à foison, et de la corruption faisant vivre la milice locale comme de vrais petits barons. J’ai trouvé une mansarde où vivre, avec un ami. J'y ai aussi changé de nom, pour m'intégrer. Avant de m'appeler Abbius, je m'appelais Su-Iba.
Un orc, plus ou moins ignorant, qui jusqu’à la fin de sa vie a pensé que j’étais un rhinocéros. Pas un sylphae-rhinocéros, un rhinocéros. De là m’a été attribué auprès des gens que je fréquentais le surnom de « Rhinocéros ». Je n’ai … Jamais été un rhinocéros, au cas où un doute subsiste. Pas même une seconde. Mais j’ai visiblement été « LE Rhinocéros », aussi contre-intuitif que cela puisse être.
Enfin, j’ai d’abord travaillé comme chasseur. Pourquoi ? Parce que le boucher qui m’employait pensait que j’étais un rhinocéros, et que les rhinocéros étaient des prédateurs. Je ne me suis pas plaint, il fallait bien que je gagne de l’argent. Les gens me regardaient comme une curiosité.
« Regardez ! Le Rhinocéros ! », « C’est sûr, il va déployer ses griffes de rhinocéros et nous débarrasser du monstre ! ».
C’est là que j’ai eu l’idée de chasser des monstres plutôt que du gibier. Visiblement, c’était un problème récurrent ici, ça et le manque de connaissances évident en animaux. J’ai donc décidé de le faire, sans attendre de paye. Tuer des monstres, avec d’autres espèces de chasseurs bizarres, à l’humour raciste et à l’alcool très facile. Ils faisaient tout le boulot, me mettant face à une belle réalité : Je n’avais pas d’expérience de combat réel.
Puis … J’ai découvert un culte. Celui de Noctis. En me promenant de nuit, j’ai constaté tous les problèmes qu’il y avait ici. Et c’était peut-être comme ça que j’allais avoir la réputation que je méritais, pour devenir un Arasenshi. J’ai suivi les préceptes de Noctis et me suis engagé comme « policier ». C’était une unité penchée sur des cas dits « étranges ».
Voguant d’enquête en enquête, j’ai décidé de rentrer auprès des miens. J’ai dû expliquer pendant cinq bonnes heures que les faits rapportés à propos d’un rhinocéros griffu protégeant les citoyens de diverses embûches en s’interposant étaient à propos de moi.
Aujourd'hui, je suis ... En contrôle disons ? J'attends de devenir Arasenshi, je ne sais pas vraiment ce qu'il manque. Plus de faits d'armes ? Pour l'instant, je vais continuer à tuer des monstres. Et un jour, j'espère que je serai assez bon en magie pour arrêter d'utiliser des armes. Ambition Obtenir les réponses à toutes ces questions qui tournent dans sa tête. Où allons-nous, que sommes-nous, qu’est-ce qui se trouve avant la vie, après la mort ?Je certifie avoir pris connaissance du règlement ainsi que de la globalité du Forum. Je me suis engagé à les respecter dès l'instant où cette candidature a été postée. |
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